Humour
Les Blagues : Diverses
Un jeune cow-boy entre dans un saloon (imaginez John Wayne). Il dégaine et lance : 'Le premier qui m'emmerde, je lui fout une balle entre les deux yeux'. Un vieux cow-boy, qui en a vu beaucoup d'autres, lui dit très calmement : 'Lime ta mire...'. Le jeune ne comprend pas, sort du saloon mais revient le lendemain, le surlendemain, tous les jours de la semaine qui suit et, à chaque fois, lance : 'Le premier qui m'emmerde, je lui fout une balle entre les deux yeux'. Le vieux cow-boy, toujours aussi calme, lui dit toujours : 'Lime ta mire...'. Au bout de 10 jours, le jeune cow-boy demande au vieux cow-boy : 'Pourquoi me dis-tu toujours 'lime ta mire?' - Parce que, moi aussi j'ai été jeune. Moi aussi je suis entré dans un saloon, comme toi, et moi aussi j'ai dit des conneries comme les tiennes. Et puis un jour, un groupe de vieux cow-boys m'a sauté dessus, ils m'ont pris mon flingue et me l'ont enfoncé dans le cul... Alors, un bon conseil : lime ta mire !'. |
Dans le grand ouest américain, un soir après une journée de convoyage d'un troupeau de 5000 bovins, trois cow-boys sont assis autour du feu de camp. Ce sont tous les trois de rudes gars qui n'ont jamais eu peur de rien, sur qui la douleur n'a jamais eu aucune prise. Après un bon café, ils se mettent à discuter... Le premier dit: - L'autre jour, un taureau s'était échappé de l'enclos. L'animal était en furie. Il a réussi à blesser 5 gars salement en les écornant et en les piétinant. Lorsque je suis arrivé, je l'ai ratrappé à cheval, puis je lui ai sauté dessus en l'agrippant par ses cornes. Ensuite, ça a été un jeu d'enfant de le mettre par terre en lui tordant le cou! Le second renchérit: - Ouais, pas mal, mais on a tous déjà fait ça. Moi, l'autre jour, alors que j'étais en vacances chez mon beauf en Floride et qu'on était en barque, l'embarcation s'est retournée. Rapidement, un alligator d'au moins trois mètres s'est rué sur moi. La bataille a bien duré 5 minutes sous l'eau, mais finalement j'ai réussi à lui faire la peau en lui déboitant la machoire! Le troisième cow-boy resta silencieux, alors qu'il remuait les braises avec sa bite. |
Ça ce passe pendant les années 30 aux US. Un type à qui tout sourit. Il a un bon boulot dans un entrepôt sur les quais de Chicago, une nana magnifique, un super appartement avec vue sur la ville. Bref, le bonheur. Tout bascule le jour où la mafia fait une razzia sur son lieu de travail alors que sa fiancée l'attendait à la sortie de son boulot: De grosses limousines chargées de truands armés jusqu'au slip, tirant sur tout ce qui bouge même quand ça bouge pas. Un massacre. L'entrepôt est tellement brûlé qu'il n'en reste plus qu'une plaque métallique en fusion; le patron crucifié; et pour couronner le tout. Le chef des mafiosi viole la fiancée du mec avec une ponceuse auto lustrante, si bien que la belle en tombe éperdument amoureuse. En gros l'hécatombe. Le gars rentre chez lui avec un petit sentiment d'amertume. Sans boulot,seul dans son appartement sordide. Il décide de se suicider, mais il n'a plus un rond pour le gaz, le prix du chanvre à augmenté, le Valium n'a pas été inventé et Ophélie Winter ne chante pas encore. C'est Al Capone qui a fait son malheur, c'est lui qui se chargera de sa mort décide-t-il. Il se rend donc dans le restaurant préféré du truand. C'est une boîte avec danseuses emplumées et jet de culottes au final. Le roi du crime est attablé avec ses gorilles et sa gonzesse devant un magnum de champagne dont l'étiquette pour le prix est plus large que celle pour la marque. Le gars s'impose, il s'approche de Capone et pour le provoquer fait tomber son chapeau. Pas un porte-flingue ne bouge. Capone se baisse pour ramasser son galurin lorsque une rafale de mitraillette balaye tout l'établissement. Même le chien sur les marques de Whisky agonisent. C'est une telle boucherie qu'on se croirait à un concert de NTM. Capone se relève, regarde atterré autour de lui, aperçoit le gars paumé au milieu du charnier, qui vient de lui sauver la vie. Il le prend dans ses bras. 'Mon ami' dit-il, 'entre nous c'est pour la vie'. Il relève la table, rafistole sa gonzesse sur une chaise, ramasse la bouteille champagne intacte et fait asseoir son sauveur à coté de lui. Capone verse deux grandes flûtes de champagne et s'apprête à porter un toast pour son nouvel ami. Le gars lui balance alors un coup d'épaule à décorner un boeuf, espérant provoquer le mafioso. La chaise de Capone bascule, le verre de champagne tombe sur ses pompes en grésillant, produisant une drôle de fumée. C'était de l'acide. Capone se relève. 'Mon sauveur' dit-il en prenant une nouvelle fois notre bonhomme dans ses bras. 'Deux fois de suite tu me sauves la vie, à part ma femme, tu peux tout me demander'. Le gars sans se démonter plus enclin que jamais à provoquer la colère du truand chope la nénette et la fourre de force sur ses genoux. Il la tripote ouvertement. À ce moment la nana lui dit à l'oreille 'Si tu trouves des couilles entre mes jambes, tais-toi, je suis EliottNess'............ |
C'est un astronome qui fait des conférences dans les grandes villes possédant un observatoire. Toutes les nuits, il fait les mêmes observations, raconte les mêmes anecdotes, répond aux mêmes questions... Il en a un peu marre, et en parle à son chauffeur alors qu'ils se rendent à la ville suivante. Le chauffeur lui répond que, de son côté, lui aussi en a un peu assez de conduire. Alors l'astrophysicien lui dit: - Écoutez Roger (le chauffeur s'appelle Roger), depuis le temps que vous m'écoutez faire mes conférences, vous connaissez le topo par coeur: Je vous propose que l'on échange les rôles demain; vous ferez la conférence, et moi je conduirai la voiture. Comme personne ne me connaît dans la prochaine ville, tout se passera bien. Le chauffeur qui est un passionné d'astronomie est d'accord. Le soir venu, le chauffeur remplace l'astronome au pied levé. Il décrit brillamment les constellations et reçoit un tonnerre d'applaudissement à la fin de son exposé. Vient ensuite la traditionnelle séance de questions. Une main se lève: - Qui a découvert Uranus? - C'est William Herschel, répond le chauffeur Une autre main et une autre question: - Et qui a découvert Pluton? - Quelqu'un qui s'appelait Clyde Tombaugh, répond le chauffeur qui savait ça aussi. Enfin, du fond de la salle, une question est posée: - Pourriez-vous nous dire les avantages et les inconvénients entre le modèle d'instabilité par accroissement du disque et celui par pulsation, pour ce qui concerne l'explication des explosions des étoiles à cataclysme variable? À ce moment, le conférencier marque une pause, respire un grand coup, puis soupire bruyamment et dit enfin: - Je suis surpris que vous me posiez une question d'une telle simplicité. Pour vous montrer comment tout cela est vraiment trivial, je vais laisser mon chauffeur y répondre à ma place. |
C'est un jeune cadre dynamique qui s'apprête à quitter son bureau vers les 20 heures, lorsqu'il croise le directeur général de sa boite en face du broyeur de documents, une feuille de papier à la main... - Ah jeune homme! Vous allez pouvoir m'aider avant de partir: Ceci (en montrant son papier) est très important et ma secrétaire vient de partir; sauriez-vous faire fonctionner cette machine? Le jeunot répond: - Certainement Monsieur. Et il branche la prise, insère le papier dans la fente et celui-ci est aussitôt broyé - Excellent! dit le Directeur Général alors que son papier disparaît. Une copie suffira. |
Deux prisonniers se racontent leurs crimes: numéro 1: - J'ai fait un braquage de banque; J'en ai pris pour 20 ans numéro 2: - Et moi, j'ai tué toute une famille. Je ne reste que trois jours... numéro 1: - QUOI??? 20 ans pour mon braquage, et toi tu ne prends que trois jours pour avoir tué une famille?!!! numéro 2: - Hé ouais... ...ils me pendent jeudi à l'aube. |
Je crois que c'est Roland Magdane qui disait: La différence entre les maillots de bains de jadis et ceux de maintenant, c'est que ceux de jadis il fallait écarter le maillot pour voir les fesses ... alors que maintenant, il faut écarter les fesses pour voir le maillot. |
LETTRES REÇUES PAR UN SUPÉRIEUR HIÉRARCHIQUE Courrier N°1 _____________ Monsieur, Durant ma collaboration avec M. Colas, il m'a toujours semblé travailler consciencieusement à son bureau sans perdre de temps et sans cancaner avec ses collègues de bureau. Très rarement, il perd son temps en choses inutiles. Si on lui donne un travail, il termine le travail qui lui est dévolu à temps. Il sera toujours absorbé par son travail officiel, et ne pourra jamais être trouvé en train de commérer à la cantine. Il n'a absolument aucune vanité, en dépit de toutes ses réalisations et de la très grande connaissance de son domaine d'activité. Je pense qu'on peut facilement le mettre sur un piédestal, et nous ne devrions en aucun cas faire sans lui. En fait, je pense réellement que M. Colas devrait être sur le tableau d'avancement, et un formulaire de demande devrait être expédié le plus tôt possible. (Signé) Kurt Bleek Chef de section Courrier N°2 _____________ COLAS ÉTAIT PRÉSENT QUAND J'AI ÉCRIT LE RAPPORT QUI VOUS A ÉTÉ POSTÉ AUJOURD'HUI. VEUILLEZ NE LIRE QUE LES LIGNES 1,3,5... DE CE RAPPORT POUR CONNAÎTRE MON RÉEL SENTIMENT SUR M. COLAS RESPECTUEUSEMENT, (Signé) Kurt Bleek Chef de section |
C'est un gars qui vend des bibles en porte-à-porte depuis quelques années déjà, et il en a marre : il décide de se mettre à son compte. Il passe donc une annonce pour recruter des jeunes vendeurs qui vendront les bibles à sa place. Trois candidats se présentent : Le premier lui dit : - Je VEUX vendre des bibles pour VOUS ! - C'est d'accord mon gars mon gars, tu es embauché : Tiens, prend ton équipement et va vendre des bibles ! Le second arrive et dit : - Je VEUX vendre des bibles pour VOUS ! - C'est d'accord mon gars mon gars, tu es embauché : Tiens, prend ton équipement et va vendre des bibles ! Le troisième entre et dit : - Je v-v-v-v-eux ven-ven-ven-dre d-d-d-des bi-bi-bi-bi-bibles p-p-p-pour v-v-v-vous - Non mon gars. Je ne peux pas te prendre. Jamais tu n'arriveras à me vendre une bible. Laisse tomber ! - M-m-m-mais j'ai vr-vr-vrai-vrai-vraiment be-be-be-besoin de-de-de ce tr-tr-tr-tra-tra-travail ! Comme il n'y a plus de postulant pour le poste, le nouveau patron accepte de prendre le bègue à l'essai : - Tiens, voilà un carton de bibles, prend le et va me vendre toutes les bibles que tu peux. À la fin de la journée, les vendeurs rentrent à la base ... Le premier dit : - J'ai vendu 8 bibles aujourd'hui Le second dit : - J'ai vendu 11 bibles Le bègue dit : - Auj-auj-auj-j-j-jourd'hui j-j-j-j'ai ven-ven-ven-vendu vingt-vingt-vingt-huit bi-bi-bi-bibles. Le patron répond : - SUPER les gars. Mais demain, j'attend de vous que vous me vendiez beaucoup plus de bibles que ça. Aujourd'hui c'était l'entraÓnement, demain, c'est la compétition ! À la fin de la deuxième journée, le premier vendeur est au rapport : - J'ai vendu 32 bibles ! Le second dit : - J'ai vendu 44 bibles ! Le bègue arrive et dit : - Auj-auj-auj-j-jour-jour-jour-jourd'hui j-j-j-j'ai ven-ven-ven-vendu soi-soi-soi-xan-xante-dix-dix-dix-neuf bi-bi-bi-bibles. Le boss répond directement au bègue: - Fantastique ! je me demande vraiment comment vous parvenez à vendre quasiment deux fois plus que les deux autres vendeurs ! Je serai curieux de connaître votre technique de vente... Alors le bègue répond : - Je-je-je-je les-les-les ab-ab-aborde sim-sim-sim-ple-ple-plement et j-j-j-je leur d-d-d-deman-demande s-s-s-s-si ils v-v-v-veulent qu-qu-que j-j-j-j-je l-l-l-leur v-v-v-v-v-vend-d-d-de une b-bi-bi-bi-bibl-bl-bl-bible ou s-s-s-si ils v-v-v-v-veul-l-l-veulent qu-qu-qu-que j-j-j-je l-l-leur LISE un pa-pa-pa-pa-ssa-ssa-ssa-ge ? *** Le m-m-m-même g-g-g-gars se met à vendre des b-b-b-b-brosses à d-d-dents... Le bègue: - J-j-j-j-je v-v-v-voud-d-d-drais v-v-vend-d-d-dre d-d-des br-brosses à dents p-p-pour v-v-vous! Le boss: - Ah ça , pas question mon gars, tu as un sérieux problème d'élocution tu sais... Le bègue: - Allez p-p-p-patron l-l-l-laiss-ssez moi ess-ss-ssayer... Le patron: - Ok essaie si tu veux. Voilà le matériel. Le lendemain - J-j-j-j'ai v-v-v-vendu t-t-tout le c-c-carton! D-d-d-donnez moi d-d-d-dix c-c-c-cartons! Le surlendemain - J-j-j-j'ai v-v-v-vendu t-t-tout le c-c-carton! D-d-d-donnez moi cinq-qu-qu-quante c-c-c-cartons! Le surlendemain - J-j-j-j'ai v-v-v-vendu t-t-tout le c-c-carton! D-d-d-donnez moi cent c-c-c-cartons! Le boss: - Dis-moi un peu, quel est la raison de ton succès? Quelle est la méthode que tu emploies pour vendre autant de vrosses à dents? Le bègue: - C-c-c-c'est s-s-s-simple. J-j-j-j'installe m-m-m-mon m-m-mat-t-tériel au coin de d-d-d-deux rues t-t-très fr-fr-fréquentées... J-j-je met une p-p-p-pancarte 'D-d-dégus-s-station d-de cr-cr-crevettes sauce p-p-piquante gr-gr-gratuite'. J-j-j-je m-m-m-mets à la d-d-d-disposition du p-p-p-public un bol de sauce et d-d-des cr-cr-crevettes. Les gens pr-pr-prennent une cr-cr-crevette, la trempent d-d-dans la sauce et goutent... 'Beuarh! Cette sauce a le goût de merde' qu-qu-qu'ils d-d-disent et j-j-j-je rép-p-p-pond: 'C-c-c'en est. J-j-j-je v-v-vous v-v-vend une br-br-brosse à d-d-dents?' |
C'est un mari et sa femme qui passent une semaine au ski. Alors qu'ils sont dans le télécabine pour monter à 3000 mètres, la femme dit à l'oreille de son mari qu'elle a un besoin URGENT de faire pipi. Le mari lui répond de ne pas s'en faire : il y a toujours un chalet restaurant à l'arrivée des télécabines. Mais à l'arrivée, le chalet restaurant est fermé... et voilà la dame les jambes encore plus serrées. Voyant, au cours de la descente, que sa femme ne peut plus rien faire de bon, le mari lui suggère d'aller trouver le premier groupe de rochers, et de satisfaire ce besoin pressant. Il lui dit : - Vas-y n'aie pas peur, de toute façon, personne ne te repéreras avec ta tenue blanche! Alors la femme va s'installer, mais elle garde les skis chaussés, malheureusement pour elle! Car les skis se mettent à glisser et la voilà qui descend la pente, à reculons en plus, le cul à l'air et le pantalon de ski sur les genoux. Elle prend de la vitesse, et comme elle n'a aucun moyen de se diriger, elle continue tout droit, le cul en premier. Finalement, elle percute un pylône. Et manquant toujours de chance elle se casse un bras dans l'histoire et elle ne peut pas remonter son pantalon de ski. Ce n'est que quand son mari vient la rejoindre que sa nudité peut enfin être cachée des yeux du public. Ensuite, les sauveteurs viennent la chercher avec la motoneige et le brancard; elle est amenée en bas des pistes, puis transportée à l'hôpital. Sur place, on lui pose un plâtre sur le bras, puis on la place dans la chambre d'un gars qui a la jambe dans le plâtre. Elle engage la conversation: - Comment vous êtes-vous cassé la jambe? Le gars lui répond: - C'est une histoire incroyable: J'étais sur un télésiège pour monter en haut des pistes lorsque j'ai vu une femme descendre une piste de ski, le postérieur tout nu à l'air, le pantalon de ski baissé sur les genoux, et en plus, à reculons! Pour mieux voir, je me suis penché mais je n'ai pas réalisé que j'étais bien trop penché en dehors du télésiège, et je suis tombé. D'où ma fracture du tibia... Et vous, comment vous êtes-vous cassé le bras? |