Humour
Les Blagues : Diverses
Un repris de justice est convoqué comme témoin... Le juge: 'Vous êtes en retard. Quand on est convoqué à 10H00, il faut arriver à 10H00 !' Le témoin: 'Ben oui, mais je me suis perdu dans les couloirs du palais de justice, sinon, j'étais à l'heure.' Le juge, ironique: 'Pourtant, si je me souviens bien, je vous ai déjà vu en d'autres circonstances dans cette salle....' Le témoin: 'Oui, oui, vous avez raison. Mais cette fois là, j'étais arrivé par l'entrée des artistes...' |
Deux amies d'enfance se retrouve après plusieurs années. La première dit : - Pour notre premier anniversaire de mariage, mon mari m'a offert un diamant ! La seconde répond : - C'est bien, c'est très très bien. La première dit: - Pour notre second anniversaire de mariage, mon mari m'a offert une voiture toute neuve ! La seconde répond : - C'est bien, c'est très très bien. La première dit: - Pour notre troisième anniversaire de mariage, mon mari m'a offert un superbe manteau de fourrure ! La seconde répond : - C'est bien, c'est très très bien. La première demande : - Et toi, qu'est-ce que ton mari t'a offert pour vos anniversaire de mariage ? La seconde répond : - Il m'a envoyé dans une école de Maintien où l'on apprends à dire 'C'est bien, c'est très très bien' au lieu de 'va te faire foutre espèce de salope!' |
C'est Dédé (prononcer Deideu) et Tony de l'Estaque, ils ont gagné un voyage en paquebot jusqu'à New York. À la fin de la traversée le brouillard se lève sur Manhattan et ils voient la statue de Liberté. Dédé s'exclame : - Oh putain Tony, c'est la femme à qui, elle, elle est bien grande!!! Tony répond: - Putain, je sais pas moi, t'as qu'à demander!!! Dédé va voir un ricain sur le pont et lui demande: - Oh monsieur s'te plaît, ooohh, de qui c'est la femme, elle?! L'homme interloqué répond: - What??? et Dédé s'en va, satisfait, dire à Tony: - C'est la femme à Ouatt, putain, comme y doit être grand, ce mec!! Sur la terre ferme, les deux collègues vont à l'hôtel puis sortent pour aller au bistrot. Ils passent devant un Mac Do géant avec une enseigne monstrueuse en néon représentant un hamburger. Dédé s'arrête : - Oh putain Tony, c'est le sandwich à qui, ça, il est bien grand!!! Tony répond: - Putain, je sais pas moi, t'as qu'à demander!!!!!!' Dédé avise un mec et lui demande: - Oh monsieur, s'te plaît, oooh, de qui c'est le sandwich, là?! L'homme sur la défensive répond: - What??? Et Dédé revient vers Tony et lui dit: - Putain, j'aurais dû le savoir, eh, c'est le sandwich à Ouatt. Putain y doit vraiment être monstrueux ce mec!!!!!!! À leur retour du bar ils passent devant l'échoppe d'un cordonnier qui a tout investit dans son enseigne, une monstre-grosse chaussure en néon. Dédé lève les yeux et s'écrie: - Oh putain Tony, c'est le nébu à qui, ça, il est bien grand!!! Tony répond: - Putain, je sais pas moi, t'as qu'à demander!!!!!! Un mec est encore dans la rue à cette heure tardive et se fait aborder par Dédé qui lui demande 'Oh monsieur, s'te plaît, oooh, de qui c'est la chaussure, là?! Réponse de l'homme inquiet: - What??? Dédé se tape sur le front en expliquant à Tony: - Putain, c'est sûr, enculé de moi, c'est la chaussure à Ouatt. Y chausse du mille ce mec!!! Les estaquiens rentrent ensuite sans autre événement à leur hôtel et passent une bonne nuit. Le lendemain matin ils sortent se balader et en passant un coin de rue, ils tombent sur une procession énorme derrière un corbillard, plusieurs milliers de personnes au moins. Dédé s'affole : - Oh putain Tony, qui c'est qui le mort là, putain y a bien du monde!!! Tony répond: - Putain, je sais pas moi, t'as qu'à demander!!!!!! Dédé avise quelqu'un dans la foule et lui demande: - Oh monsieur, s'te plaît, oooh, qui c'est qui est mort là?!!!!'. Réponse affolée: - What???' Et là, Dédé, il explose - Putain tu me prends pour qui, pédé que tu es, même pas une couille de Ouatt elle pourrait rentrer là-dedans!!!!!!!!!! |
Une jeune fille, qui vient de se présenter à l'examen du permis de conduire, rentre chez elle. Son père la questionne : - Alors, comment ça c'est bien passé ? - J'en sais rien. - Comment ça ! L'examinateur ne t'a rien dit ? - Mais non, rien ... On l'a transporté directement à l'hôpital! |
Ça se passe au bord la mer. C'est deux gars qui sont de vrais jumeaux. Il y a Robert et Raymond Kulasec (les fils de Jean, bien sûr). Robert s'est marié à Jeanine mais Raymond est resté célibataire. Le seul bien que possède Raymond en dehors de sa maison, c'est une vieille chaloupe... Un jour, la femme de Robert, Jeanine, meurt. Et le même jour, la chaloupe de Raymond coule! Une vieille dame de leurs connaissances rencontre Raymond le lendemain. mais elle confond Raymond et Robert. Elle dit à Raymond: - Oh monsieur Kulasec... J'ai appris votre grande perte. ça doit être terrible pour vous!? Raymond lui répond: - Eh ben en fait oui. Je suis vraiment démuni maintenant. Enfin il faut quand même relativiser: Elle était pourrie dès le départ, elle avait l'arrière tout abîmé, elle sentait le poisson et jamais au grand jamais je n'ai connu une chose qui prenait l'eau aussi vite qu'elle. Il faut dire qu'elle avait une grosse fissure par devant et un grand trou à l'arrière. D'ailleurs, le trou devenait de plus en plus gros à chaque fois qu'on l'utilisait... En fait, ce qu'elle n'aura pas supporté, c'est que je la loue à quatre gars pour qu'ils prennent un peu de bon temps avec: Je leur avais pourtant dit d'y aller mollo, mais ces jeunes branleurs ont voulu monter à quatre en même temps. C'en était trop pour elle et elle a craqué en plein milieu. |
Le juge au prévenu : - Le 25 juillet dernier, vous avez tué votre femme avec un marteau ... Le reconnaissez-vous ? - Oui, je l'avoue et j'ai fait croire qu'elle était partie en vacances! Un homme dans la salle se lève et ne peut retenir ses cris: - Enfoiré, salaud, fils de ... ! - Silence ou je ... Le juge n'eut pas besoin de terminer sa phrase: l'homme s'est déjà calmé. Le juge reprend l'interrogatoire : - Le 9 septembre, vous avez tué votre belle-mère avec un marteau. Reconnaissez-vous les faits ? - Oui, je l'avoue ... avec un marteau. À ce moment-là, la même scène se reproduit, avec le même homme : - Enfoiré, salaud, fils de ... ! Le juge ordonne son expulsion mais, par pure curiosité, il lui demanda : - Puis-je savoir qui vous êtes pour vous exciter de la sorte? - Oui, Monsieur le juge ... Je suis son voisin de pallier et, chaque fois que j'ai demandé à cet enfoiré de salaud de fils de ... de me prêter un marteau, il a toujours prétendu ne pas en avoir! |
c'est un groupe de touristes qui visite les vestiges de la civilisation Maïa au Mexique. Alors que le groupe s'apprête à entrer dans un des temples, un des touristes veut faire le malin et demande au guide des détails sur leur lieu de visite. Le guide répond: - Les fouilles concernant le site ne sont pas terminées. Il arrive encore de trouver des poteries et des bijoux aux alentours du temple. Pour ce qui est de l'âge du temple dans lequel vous allez pénétrer, on sait de manière certaine qu'il a 2503 ans! Le touriste est impressionné par le savoir du guide et reste muet. Par contre, sa femme surenchérit tout de suite: - Mais dites-moi, comment pouvez-vous être si précis? - Oh, c'est simple. Il y a trois ans, lors de l'ouverture au public du temple, les archéologues ont dit qu'il était vieux de 2500 ans. |
Donc, c'est un voyageur de commerce qui passe toute la semaine sur la route. Il rentre chez lui tous les week-ends, et nous sommes justement un vendredi soir, tard, la nuit est bien avancée. Il est encore au volant et il lui reste pas mal de chemin à faire. Il se trouve dans un coin paumé, le dernier bled qu'il a traversé est déjà à une bonne vingtaine de kilomètres - le suivant n'est pas plus proche - lorsqu'une de ses roues crève. Comme c'est son boulot d'être sur la route et qu'il est organisé, il sait que sa roue de secours est OK, il se fait pas de soucis et se met en devoir de réparer ça. Il sort avec sa lampe électrique, chope la roue, puis s'aperçoit qu'il n'a pas son cric. Effectivement, le week-end précédent, il s'en est servi et ne l'a pas rangé. Il n'a d'autre alternative que s'armer de courage et de partir à pieds au dernier village qu'il a traversé, où, se souvient-il, se trouve un garagiste qui devrait pouvoir lui vendre un cric. C'est donc une longue marche qui l'attend. Comme on est en hiver, une pluie pénétrante commence à tomber et à le glacer jusqu'aux os. Il est dans le noir complet, sa lampe électrique ayant rendu l'âme quelques kilomètres après son départ. Il commence donc à ressasser de noirs pensées, et à se parler à lui même : - Est-ce qu'au moins cet abruti de garagiste va avoir un cric ? - Ouais, bien sûr, tous les garages ont des crics. Mais, le mec, il va te voir venir, ... dans ta situation, il va au moins t'en demander 500 balles ... Quelques kilomètres passent, et il continue a rouméguer (terme occitan dont la sonorité suffit à comprendre la signification) : - Tu parles, il peut même t'en demander 1000 balles, de toutes façons, t'as pas le choix. Exacerbée par l'absurdité de la situation, par les éléments qui se déchaînent contre lui, une sourde colère croît en lui au fil des kilomètres, et il continue son dialogue intérieur : - T'es complètement à sa merci, mec. Il peut même te le vendre 2000 balles, son cric, et toi, comme un con, t'auras qu'à la fermer et payer ... Il arrive enfin en vue du bled, et il aperçoit l'enseigne du garage. Il rassemble le peu de forces qui lui restent et force le pas, continuant à rouscailler: - Tu vas voir que ce connard est capable de t'en demander 3000, 4000 balles. Tu parles, c'est pas tous les jours qu'il trouvera un tel pigeon. Arrivé au portail du garage, il commence à tambouriner. Pas de réponse. Il s'active derechef pieds et poings contre le portail, une tête hagarde de sommeil se pointe alors à une fenêtre du premier étage. C'est alors que le voyageur de commerce, au comble de la fureur et avant que l'autre ait pu placer un mot, lui hurle : - ESPÈCE D'ENCULÉ, TU SAIS OU TU PEUX TE LE COLLER, TON CRIC, ... |
Un employé à son patron : - Monsieur, mon salaire n'est pas en rapport avec mes capacités ! - Oui, mais nous ne pouvons tout de même pas vous laisser mourir de faim ! |
Pourquoi les gars qui ont fait leurs études à l'E.P.I.T.A.* mettent leur diplôme sur leur tableau de bord de voiture? - Pour pouvoir se garer sur les places pour handicapés *J'ai mis EPITA parce qu'il y avait bien un an qu'il n'y avait pas eu de blague sur eux. Mais on aurait pu choisir une école de Rennes ou de Nancy. |