Humour
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Les Blagues : Diverses
Un ancien soldat allemand de la deuxième guerre mondiale revient dans un village
français ou il était affecté. Il rentre dans un bar, et engage la conversation
avec la table voisine.
'- Ach ! La kerre, kross malheur cette kerre. J'étais stazionné ici pentant la
seconde kerre montiale.'
Et à la table d'à côté, il y a un vieux sourd comme un pot, avec un jeune...
'- Qu'est-ce qu'il dit ?' Fait le vieux.
Il dit que la seconde guerre mondiale était un malheur, rétorque le jeune.
'- Ja, mais fotre fillage est magnifique. Je le connaissais très pien.
- Comment ? Fait le vieux.'
Il dit qu'il connaît bien le village, il y était...
'- Mais alors, fait le vieux, il connaît sûrement Pierrette Dupuis ?
- Ach, ja ! Pierrette Dupuis, ja... Un frai folcan, cette femme. Ich habe un
exzellent soufenir.
- Quoi ?' Fait le vieux.
- Il dit qu'il connaît bien Maman, Papa !!!
c'est l'histoire d'un bègue qui trouve un jour un cheval mort dans la rue, juste
en face d'où il habite, Il décide de téléphoner au commissariat...
[dring-Drrrrring] (ça c'est le téléphone qui sonne chez les flics)
- Bbb..bbb.bbb...bonjj jj...bonjour! C'est...c'est...c'est... c'est
l'co..co...co...commisss...missariat?
- Allô? Oui c'est bien le commissariat. Que voulez-vous?
- Y..y..y...y'a un che..che..che..cheval mm..mm..mm..mort a la rr...rr..rrue
Gaga...Ga..Gaga..Gaga...
- À la rue Garibaldi?
- Nnnon! A la rr...rr..rrue Gaga...Ga..Gaga..Gaga...
- Bon, écoutez: je n'ai pas que ça à faire, hein? Alors bonne journée! [clac!]
(ça c'est le flic qui raccroche)
Cinq minutes plus tard:
[dring-Drrrrring] (ça c'est le téléphone qui sonne chez les flics)
- Bbb..bbb.bbb...bonjj jj...bonjour! C'est...c'est...c'est... c'est
l'co..co...co...commisss...missariat?
- Allô? Oui c'est bien le commissariat. Que voulez-vous?
- Y..y..y...y'a un che..che..che..cheval mm..mm..mm..mort a la rr...rr..rrue
Gaga...Ga..Gaga..Gaga...
- À la rue Garibaldi?
- Nnnon! A la rr...rr..rrue Gaga...Ga..Gaga..Gaga...
- Bon, écoutez: je n'ai pas que ça à faire, hein? Alors bonne journée! [clac!]
(ça c'est le flic qui raccroche)
Puis encore cinq minutes plus tard:
(c'est fou ce que c'est pratique ces fonctions 'copier-coller' :-)
[dring-Drrrrring] (ça c'est le téléphone qui sonne chez les flics)
- Bbb..bbb.bbb...bonjj jj...bonjour! C'est...c'est...c'est... c'est
l'co..co...co...commisss...missariat?
- Allô? Oui c'est bien le commissariat. Que voulez-vous?
- Y..y..y...y'a un che..che..che..cheval mm..mm..mm..mort a la rr...rr..rrue
Gaga...Ga..Gaga..Gaga...
- À la rue Garibaldi?
- Nnnon! A la rr...rr..rrue Gaga...Ga..Gaga..Gaga...
- Bon, écoutez: je n'ai pas que ça à faire, hein? Alors bonne journée! [clac!]
(ça c'est le flic qui raccroche)
Enfin, UNE HEURE PLUS TARD:
[dring-Drrrrring] (ça c'est le téléphone qui sonne chez les flics)
- Bbb..bbb.bbb...bonjj jj...bonjour! C'est...c'est...c'est... c'est
l'co..co...co...commisss...missariat?
- Allô? Oui c'est bien le commissariat. Que voulez-vous?
- Y..y..y...y'a un che..che..che..cheval mm..mm..mm..mort a la rr...rr..rrue
Gaga...Ga..Gaga..Gaga...
- À la rue Garibaldi?
- Ouiiiiiii! A la rr..rrue Gaga...Ga..Gaga..Garibaldi!
- Mais il fallait nous le dire plus tôt! Enfin, pourquoi avoir attendu aussi
longtemps?
- Il a ff..ff..ffallu qu..qq..q.que j.. je. jj..j que jj.. que je le déplace!
Un ministre africain vient en voyage officiel en France, et se fait inviter à
dîner chez son homologue français. En voyant la somptueuse villa de ce dernier,
et toutes les toiles de maître aux murs, il lui demande comment il peut bien
s'assurer un tel train de vie avec sa paye somme toute modeste de serveur de la
République. Le français l'entraîne près de la fenêtre :
'Vous voyez l'autoroute là-bas ?
- Oui
- Elle a coûté vingt milliards, l'entreprise l'a facturée 25 et m'a versé la
différence'.
2 ans plus tard, le ministre français est en voyage officiel en Afrique et rend
visite à son homologue. Quand il arrive chez lui, il découvre un palais comme il
n'en avait encore jamais vu. Stupéfait, il demande 'Mais je ne comprend pas, il
y a 2 ans vous trouviez que j'avais un train de vie princier, mais par rapport à
vous...' Le ministre africain l'entraîne près de la fenêtre :
'Vous voyez l'autoroute là-bas ?
- Non
- Ben voilà.'
Un richissime Américain vient s'encanailler a Paris, ville dont un de ses potes
a (discrètement) vanté les charmes sulfureux lors du dernier congrès
conservateur. Il débarque à Orly, il saute dans un taxi :
- Haille, monsieuw, voudrwiez-vo condouiwre moi à Pigalle, please?
Le chauffeur acquiesce et hop.
Arrivé, il écarquille et finalement choisit. Blonde, mignonne, bien roulée, pas
trop vulgaire, mais on sent l'efficacité. Un bon choix, quoi.
- Haille ! C'est combwien ?
- Trois cents, pour toi, mon chou.
- O.K. ! Let's go !
A peine arrivé dans la chambre borgne, suivant la fille, il ferme vigoureusement
la porte, donne un tour de clef, et extirpe un gigantesque 44 Magnum chargé
jusqu'à la gueule (la fille pâlit méchamment) :
- Well ! A pwoil, maintenant !
Elle se dessape fissa.
- All right, retouwrne yourself !
Elle s'exécute.
- Penche-toi en avant (bend over !)!
Il lui colle alors le canon de l'arme derrière l'oreille, et d'un coup, crac,
sodomise la pauvrette apeurée (elle est au bord de la syncope). Après avoir fait
sa petite affaire, il remballe sérieusement son attirail, range le flingue, sort
300 dollars (!) de sa poche, les donne à la fille, ouvre la porte et s'en va
tranquillement.
Martine, se remettant de ses émotions et ne comprenant plus rien, lui court
après :
- Eh ! Monsieur ! J'ai droit à une explication, non ? Dites-moi, peut-être que
cela ne se fait pas chez vous, mais ici, par derrière, c'est courant. Pourquoi
avoir sorti le revolver ?
Il s'arrête, la regarde gentiment, sourit et lui répond :
- Well. Tou say, si je avais pas sowrti le wrevolvewr, ton twrou, il auwrait été
gwros comme ça ! (avec un geste mimant une assiette).
Jack un jeune londonien, reçoit une mignonne française en séjour d'échange
linguistique.
Après une journée de visite des rues de Londres, son père lui demande :
- Jack, qu'as-tu appris aujourd'hui avec Corinne?
- J'ai appris le nom des doigts de la main.
- Alors je t'écoute... (le papa est prof de français...)
- Le pouce, l'index, la plaisanterie, l'annul..
- Hey Jack, ce n'est pas la plaisanterie mais le majeur
- Et pourtant dans le cinéma Corinne m'a dit :
'- Jack, tu ne trouves pas que tu pousses la plaisanterie trop loin?'
Un employé se rend au bureau du responsable des paies et lui montre son chèque:
'- Il manque vingt dollars sur mon chèque du mois ' dit-il
'- C'est exact, mais tu oublies que tu as reçu vingt dollars de trop la semaine
dernière. C'est curieux, mais tu ne t'es pas plains à ce moment là?!'
'- Une erreur, ça va, je peux passer dessus' répond le gars, 'mais pas deux
d'affilée!'
C'est l'histoire d'un mec qui vient de se marier. Si pour lui, la vie à deux est
une expérience nouvelle, on ne peut pas en dire autant de sa dulcinée qui en est
déjà à son cinquième mariage. Mais l'homme est très surpris le premier soir au
lit car il s'aperçoit que sa femme est vierge...
- Dis donc chérie, ils étaient si moches que ça tes précédents maris ?
- Non, pas du tout. Je vais t'expliquer :
Le premier, c'était un pianiste, alors tu comprends ces artistes : tout avec les
doigts.
Le deuxième, c'était un communiste, alors tu vois : des promesses, des
promesses, des promesses...
Le troisième, c'était un avocat : des paroles, des paroles, des paroles...
- Et le quatrième ?
- C'était un socialiste.
- Et alors ?
- Et ben je l'ai eu dans le cul.
*Naturellement, vous pouvez remplacer 'Socialiste' par ''RPR , 'UDF',
'lepéniste'... au choix
(Variante de la blague précédente)
Une dame voulant se marier pour la quatrième fois, va s'acheter une robe de
mariée.
La vendeuse lui rappelle qu'elle ne peut pas porter une robe blanche,
puisqu'elle s'est déjà mariée trois fois.
Elle répond:
- Bien sûr que je peux, je suis toujours vierge!
- La vendeuse lui répond:
- Impossible?!
Et la dame dit:
- Et non, c'est vrai: Mon premier mari était psychologue, et tout ce qu'il
voulait c'etait en parler. Le second était gynécologue, il ne voulait que
regarder. Et le troisième, ah le troisième... Il était philatéliste, ah mon
dieu, comme il me manque!
Ça se passe en 81 juste après l'élection de Mitterand. Et Pierre Maurois, le
nouveau premier ministre et maire de Lille va visiter une école à Roubaix
(Ch'est dans ch'Nord).
Donc, la maîtresse, pour ne pas être prise au dépourvu, demande à tous les
élèves de dire ce qu'ils voudraient raconter à Pierre Maurois.
Vient le tour de Cafouniet' (personnage mythique de Denain dans le Nord) :
Cafouniet' : 'moi, m'dame, ma chatte vient d'avoir 5 petits, et ils sont tous
socialistes !'
La maîtresse : 'Ah, très bien, ça va sûrement intéresser M. Maurois...'
Le jour tant attendu, Pierre Maurois est dans la classe, et il interroge les
petits. Arrive le tour de Cafouniet' :
Cafouniet' : 'Moi m'sieur, j'ai 5 petits chats, dont 3 socialistes...'
La maîtresse : 'mais, tu avais dit qu'il y en avait 5.'
Cafouniet' : 'oui, mais il y en a 2 qui ont ouvert les yeux.'
*Naturellement, vous pouvez remplacer 'Socialiste' par ''RPR , 'UDF',
'lepéniste'... au choix, mais il faut ici un peu changer les autres
protagonistes de l'histoire
Un Indien entre dans un bar et demande:
- Hug! Moi indien. Moi vouloir boisson forte!
Alors le barman lui sert un verre de bière.
Le lendemain, l'indien se représente:
- Hug! Moi indien. Moi vouloir boisson plus forte qu'hier!
Alors le barman lui sert un verre de whisky.
Le lendemain, l'indien se représente:
- Hug! Moi indien. Moi vouloir boisson plus forte qu'hier!
Alors le barman lui sert un verre de Caribou.
Le lendemain, l'indien se représente:
- Hug! Moi indien. Moi vouloir boisson plus forte qu'hier!
Alors le barman n'en revient pas et lui sert un verre de 94%.
Le lendemain, l'indien se représente:
- Hug! Moi indien. Moi vouloir boisson plus forte qu'hier!
Alors le barman lui dit d'attendre un peu, descend a la cave, va chercher du
décapant à meuble et lui en sert un verre.
Le lendemain, l'indien se représente:
- Hug! Moi indien. Moi vouloir verre d'eau!
Alors le barman fort étonné lui demande se qui s'est passé.
- Hug! Moi indien. Hier, quand moi pisser, moi brûler mocassin!

Vue mer : crédit photo Aseed