Humour
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Les Blagues : Police Et Militaires
Un soldat se demande comment s'habiller pour aller à la guerre.
Un collègue lui indique que Napoléon s'habillait en rouge parce que s'il était
blessé, ses ennemis ne pouvaient s'apercevoir qu'il saigne et en ainsi en tirer
avantage.
Le soldat répond:' C'est une bonne idée, vas donc me chercher mes culottes
brunes.'
C'est un navire de guerre américain qui vogue vers la Thaïlande, où il doit
effectuer des manoeuvres. Bien entendu, tous les hommes à bord ne pensent qu'à
l'escale qu'ils vont faire dans le port de Bangkok.
Malheureusement, à quelques miles du port de Bangkok, le Capitaine reçoit un
câble :
- Très grave épidémie dans les bordels. Interdire à vos hommes tout rapport
sexuel avec les prostituées.
Arrivé à quai, ce sont des hommes abattus par cette nouvelle qui descendent du
bateau.
48 heures plus tard, tout le monde est remonté et le navire repart.
Direction : le port de Marseille où une dernière escale les attends avant le
retour au pays.
Sur le chemin, les hommes commentent leur séjour en Thaïlande :
- Moi, j'ai joué aux dés. Qu'est-ce que je me suis emmerdé...
- Ben moi, je me suis saoulé tout le temps. Qu'est-ce que je me suis emmerdé.
- Ben moi, j'ai baisé comme un salaud 24h/24...
Tout le monde regarde l'auteur de cette phrase.
- Mais t'es fou...
- Et la maladie ?
Le G.I. répond :
- Rien à cirer, au moins je me suis éclaté. Les thaïlandaises, les gars, elles
font de ces trucs...
Tout le monde le regarde d'un air envieux. Le voyage continue.
Quelques jours avant l'arrivée à Marseille, notre G.I. prend sa douche. Il
s'aperçoit alors qu'il a...le sexe tout bleu. Il panique, et va voir le médecin
du bord. Celui-ci ne lui cache pas son inquiétude :
- Qu'est-ce qui vous est arrivé ?
- Ben c'est à dire, à Bangkok, j'ai pas pu m'empêcher de...
- Malheureux ! Vous avez attrapé la Coïtus Bleuïtitis. Il faut vous amputer du
sexe, ou vous serez mort dans une semaine.
Le G.I. est désespéré. Le navire à quai à Marseille, il part se saouler dans un
bar louche. Là, un de ses potes le trouve. Ils discutent :
- Qu'est-ce qui t'arrive ?
- J'ai attrapé une saloperie à Bangkok. Ils veulent me couper la bite.
- Écoute, si ça peut t'aider, je connais un vieux Chinois ici. Il m'avait soigné
pour une chaude pisse en 45, peut-être qu'il peut quelque chose pour toi...
Ils vont voir le vieux. Celui-ci examine le G.I., marmonne, puis se précipite
sur une armoire. Il en sort 3 pots d'herbe, des gélules, des onguents, des
sirops. Il débite :
- Voilà, vous prenez çà 3 fois le matin, avec çà. Après vous massez avec ça. A
midi, vous avalez ça sans respirer, et après vous prenez ça. Le soir, vous
prenez ça en infusion. Tout va bien se passer.
Le G.I., radieux, lui demande :
- Alors, on ne va pas me la couper ?
Le vieux lui réponds :
- Non, non, rassurez-vous. Ça va tomber tout seul...
Aux journées portes ouvertes d'une base militaire, trois personnes ont gagné à
une tombola un tour dans un petit avion avec un général de l'armée française.
Les gagnants sont: Un scout, un vieil homme et un avocat. Tout le monde monte
dans le petit avion, et une fois en l'air, le général prend la parole:
'Bonjour à vous tous. Vous savez, j'ai été celui qui a dressé les plans de cette
base aérienne' et il désigne la base aérienne que l'on voit par le hublot. Puis
il ajoute:
'Et on peut dire que de faire les plans d'une telle base nécessitait vraiment
quelqu'un à la clairvoyance et à l'intelligence hors du commun'
Malheureusement, dans la seconde qui suit la fin de sa phrase, une explosion
réduit à néant le moteur de l'appareil, tuant par la même occasion le pilote.
Rapidement, l'avion perd de l'altitude et comme personne ne sait piloter, tout
le monde se met à la recherche des parachutes.
Il se trouve qu'il y a trois parachutes...
Le général est le premier à en prendre un, justifiant son geste par 'Je suis un
des cerveaux de ce pays, je dois survivre'
Ensuite l'avocat prend lui aussi un parachute en disant:
'Je suis indispensable à mes clients' et il saute.
Ne restent plus alors que le scout et le vieil homme. Le vieil homme regarde le
jeune scout et lui dit:
'Fils, tu as toute ta vie devant toi, alors que moi, j'ai eu mon temps. C'est
toi qui va prendre le dernier parachute'
Et le scout répond:
'Oh, ne vous en faites pas, il reste encore deux parachutes... Le 'cerveau' a
pris mon sac à dos!'
En Birmanie, un colonel donne les derniers conseils à ses G.I. avant que ceux-ci
partent au combat :
' G.I.'s ! Je suis fier de vous, vous allez au combat. Mais avant que vous ne
partiez, je vais vous donner les trois grands secrets pour survivre aux trois
grands dangers de la jungle :
Le premier danger, ce sont les moustiques : ils apportent les piqûres qui font
souffrir, mais surtout la malaria qui peut tuer les plus résistants.
Contre les moustiques, vous avez la bombe de fly-tox : vous prenez la bombe et
vous vaporisez; si la bombe est finie, vous en avez une de rechange dans la
poche droite, vous vaporisez jusqu'à ce que les moustiques soient tous morts et
vous survivrez aux moustiques.
Le deuxième danger, ce sont les niakwés. Ce sont de farouches combattants
fanatiques et bien armés. Contre les niakwés, vous avez le pistolet-mitrailleur
: vous prenez le pistolet-mitrailleur et vous mettez le chargeur, puis vous
tirez sur les niakwés; si le chargeur est fini, vous en avez un de rechange dans
la poche gauche, vous tirez jusqu'à ce que tous les niakwés soient morts et vous
survivrez aux niakwés.
Le troisième danger, le pire, c'est le terrible serpent mamba rayé orange et
noir. Sa morsure est mortelle en moins de trente secondes. Contre le terrible
serpent mamba rayé orange et noir, vous n'avez que votre courage et la tactique
que je vais vous donner :
Si vous voyez un terrible serpent mamba rayé orange et noir, vous faites le
tour, vous en prenez le bout de la queue entre le pouce et l'index, sans serrer,
et vous remontez doucement le long de la colonne vertébrale jusqu'à ce que vous
puissiez serrer le cou juste derrière la tête. Alors vous le prenez, et vous lui
tordez le cou, et c'est ainsi que vous survivrez au terrible serpent mamba rayé
orange et noir.
Voilà G.I.'s, vous êtes prêts à partir... Bonne chance !Ý'
Un mois après, les G.I.'s rentrent de leur mission. Le colonel est là et
interroge les soldats :
'Ahh, colonel, c'était terrible... Les moustiques, des nuées de moustiques...
Mais j'ai fait comme vous nous avez conseillé : j'ai pris le fly-tox, j'ai
vaporisé, j'ai tué des milliers de moustiques. Ma bombe s'est vidée, j'ai pris
la bombe de rechange dans la poche droite, et j'ai continué à vaporiser. La
deuxième bombe s'est vidée, et il y avait encore des moustiques, alors j'ai pris
la bombe sur le cadavre de mon copain qui était tombé à coté de moi, et j'ai
continué à vaporiser... Au moment où la bombe finissait, j'ai tué le dernier
moustique qui est tombé raide mort. J'étais sauvé.'
Un deuxième soldat :
'Ahh, colonel, c'était terrible... Les niakwés, des nuées de niakwés...
Mais j'ai fait comme vous nous avez conseillé : j'ai pris le
pistolet-mitrailleur j'ai tiré, j'ai tué des dizaines de niakwés. Mon chargeur
s'est vidé, j'ai pris le chargeur de rechange dans la poche gauche, et j'ai
continué à tirer. Le deuxième chargeur s'est vidé, et il y avait encore des
niakwés, alors j'ai pris le chargeur sur le cadavre de mon copain qui était
tombé à coté de moi, et j'ai continué à tirer... Au moment où le chargeur
finissait, j'ai tué le dernier niakwé qui est tombé raide mort. J'étais sauvé.'
Alors le colonel voit arriver un G.I. sur une civière; il est complètement
explosé, lacéré, en sang, au bord de l'inconscience.
'Mais, G.I., que s'est-il passé? Les niakwés?
- Oh non, colonel, c'est le terrible serpent mamba rayé orange et noir!
- Mais je vous avais pourtant dit comment procéder!
- Oui, mon colonel, et j'ai fait comme vous l'aviez dit ! J'ai vu le terrible
serpent mamba rayé orange et noir, j'ai fait le tour, j'en ai pris le bout de la
queue entre le pouce et l'index, sans serrer, et j'ai remonté doucement le long
de la colonne vertébrale jusqu'à ce que je puisse serrer le cou juste derrière
la tête.
Mais alors là, sauf votre respect, colonel, mais j'aurais bien voulu vous y
voir, vous, avec deux doigts dans le trou du cul d'un tigre !'
Conversation Radio enregistrée au cours d'opérations navales par le porte-avion
Clémenceau
*1: 'Déviez votre route de 15 degrés vers le Nord pour éviter une collision.'
*2: 'Vous, déviez plutôt votre route de 15 degrés vers le Sud pour éviter une
collision.'
*1: 'Ici le vice-amiral De la Forterie. J'ai dit de dévier VOTRE route!'
*2: 'Non, je répète, déviez votre route.'
*1: 'Ce message vous vient du porte-avion Clémenceau! Déviez votre route
MAINTENANT!'
*2: 'Ce message vous vient d'un phare. Vous me dites comment le faire naviguer,
et je serai heureux de lui faire dévier sa route.'
Un appelé se retrouve au fin fond du Larzac pour son faire son service et
'servir la France' (!).
Au bout de quelques semaines d'abstinence forcée, et commençant à avoir quelque
peu mal au bras droit (ou gauche, on dirait que c'est quelqu'un d'autre), il
demande à son adjudant comment les autres parviennent à gérer ce cruel manque de
féminité à leurs cotés.
Celui-ci lui explique qu'il y a une ferme non loin de là, où il est possible de
passer un moment avec une truie en échange d'une bonne bouteille remise au
fermier.
L'appelé va donc, le soir même et sa bouteille sous bras, rendre visite à la
truie...
Le lendemain, l'adjudant le voit plein de bleus et de bosses, griffé et couturé.
Il lui demande ce qui s'est passé :
'C'est au moment où j'ai voulu la retourner, elle s'est débattue, et voilà le
résultat.
- Mais enfin, lui répond l'adjudant, ce n'est pas la peine de la retourner !
- Ah si, moi quand je fais l'amour, faut que j'embrasse !'
Un bataillon de paras revient d'une mission de 6 mois en Afrique. Ils sont tous
félicités, un par un, par le général qui a un petit mot ou une question pour
chacun.
1. Avez-vous eu peur ?
- Non mon général, des paras comme nous n'ont peur de rien.
2. Qu'auriez-vous fait si votre parachute ne s'était pas ouvert ?
- Je serais descendu en chercher un autre, mon général, parce des paras comme
nous ne vont pas se faire emmerder par un parachute !
Il passe ainsi tous les gars en revue en y allant de sa petite question.
Arrivé à l'avant dernier para il est à cours d'idée.
Ce para mesure 2 m et est drôlement bien baraqué.
Il fini par lui demander :
Faisiez-vous l'amour de temps en temps ?
- 5 a 6 fois par jour pour général. C'est normal mon général. Des paras comme
nous ont la santé !!!
Arrivé au denier, le petit gringalet du groupe, le général pose la même
question.
Le para lui répond :
5 à 6 fois sur les 6 mois mon général. Le général, très surpris lui dit son
étonnement.
- Pour un para vous m'étonnez.
- Je comprends votre étonnement, mon général, pour un para normal c'est peu,
mais pour l'aumônier, c'est pas mal.
Tiens! Figurez-vous que c'est l'histoire d'un type qui veut à tout prix éviter
le service militaire. Il ne veut pas, mais alors pas du tout, porter l'uniforme,
et il est prêt à tout pour ça! Dingue, non?
Il va donc voir un ami à lui qui est médecin:
- Ben, c'est qu'en ce moment, ils prennent tout le monde! Je ne vois qu'une
seule chose... C'est de te faire castrer, devenir eunuque quoi!
Alors là, vous allez pas le croire, mais le type n'hésite pas une seule seconde
et... Hop! Il se fait châtrer vite fait bien fait et rapplique devant le conseil
de révision. Le toubib militaire le regarde rapidement, et fait:
- Réformé!... Vous avez les pieds plats!
C'est un gars qui a tout quitté pour rejoindre la légion étrangère. Le voilà
expatrié à Djibouti.
Après plus de trois mois dans le désert, l'abstinence sexuelle commence à lui
peser: Du coup, il demande à un légionnaire déjà en poste à Djibouti depuis
plusieurs années comment ils se défoulent...
Le légionnaire plus ancien lui répond:
'On utilise le dromadaire là-bas!.'
Notre légionnaire n'en est pas encore à ce stade du manque, et il décide
d'attendre encore un peu.
Six mois plus tard, c'en est trop. Notre légionnaire va retrouver le dromadaire,
se bricole un petit escabeau qu'il place derrière l'animal, et commence son
affaire... A ce moment, le sergent accompagné du légionnaire plus ancien passent
par là et lui disent:
- C'est comme ça que tu t'en sers?' Parce que nous on monte dessus et on va voir
les filles en ville!
Petit topo sur la compréhension des ordres et la transmission de l'information
chez les militaires
Du Colonel au Capitaine
Aujourd'hui à 11:33 il y aura une éclipse solaire, donc un événement que l'on ne
peut pas vivre tous les jours. faites venir la troupe en tenue de sortie. Je
donnerai moi-même des explications lors de l'observation de ce phénomène. S'il
pleut, nous ne pourrons admirer cette éclipse; dans ce cas, la troupe devra se
rendre à la cantine pour le repas.
Du capitaine à l'adjudant-chef
Sur l'ordre du commandant du régiment, il y aura aujourd'hui à 11:33 une éclipse
solaire. S'il pleut, nous ne pourrons pas bien observer le phénomène en tenue de
sortie dans le terrain. Dans ce cas, nous procéderons à la disparition du soleil
dans la cantine, donc quelque chose que l'on a pas l'occasion de voir tous les
jours.
De l'adjudant-chef au Sergent
Sur ordre du commandant du régiment, nous procéderons aujourd'hui, en tenue de
sortie, à la disparition du soleil dans la cantine. Le commandant du régiment
donnera des ordres s'il pleut, donc quelque chose qu'on ne peut pas voir tous
les jours.
Du Sergent au Caporal
S'il pleut ce matin dans la cantine, donc quelque chose qui n'arrive pas tous
les jours, le commandant du régiment disparaîtra à 11:33 en tenue de sortie.
Du Caporal aux copains de chambrée
Aujourd'hui à 11:33, notre commandant du régiment disparaîtra. Dommage que l'on
ne puisse pas voir ça tous les jours.

Vue mer : crédit photo Aseed