Humour
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Les Blagues : Sexe
Un type est en train de causer à une prostituée.
'Alors beau blond, tu montes?' lui dit-elle
'- Je monte mais à une condition: il faudra que vous soyez vraiment salope'
'- Alors ça va être cher: mille francs'
'- Bon d'accord, mais il faudra vraiment être très très salope' dit le gars en
suivant la pute dans l'escalier
'- Alors ça sera très très cher : 2000 et on paie d'abord' dit la pute.
Le gars commence à sortir ses billets de son portefeuille en ajoutant:
'- Mais je vous préviens il faudra être très très très salope!'
'- Écoute minou, je te prends le reste' dit-elle en s'emparant du reste des
billets, 'et je serai la plus salope des salopes les plus salopes'.
Le gars est hyper excité :
'j'en veux pour mon pognon' dit-il.
La pute le déshabille et lui attache ses poignets avec des menottes au sommet du
lit. voilà le type toute érection dehors, hyper turgescent qui lui dit:
'je veux le sentir passer !'
La pute lui répond 'je vais te donner plus que tu ne veux mon gros loup' En
s'approchant de lui elle lui susurre à l'oreille:
'Et maintenant mon biquet, je me tire !'
et là le gars gueule :
'SALOPE'
C'est un gars qui a un long cou, un très très long cou... Et il ne trouve pas
l'âme soeur.
Or un beau jour, grâce aux services d'une agence matrimoniale, il rencontre une
nana qui a de très grandes oreilles, de très très grandes oreilles.
Oh Bien sur, il ne la trouve pas très belle et elle ne le trouve pas très beau.
Néanmoins ils se retrouvent face à face dans un restau très chic, très très
chic.
Et là il s'aperçoit qu'elle a une énoooorme culture.
Et là elle s'aperçoit qu'il a un sens de l'humour inouï.
Alors ils finissent la soirée ensemble.
Et là il s'aperçoit que c'est un coup d'enfer.
Et là elle s'aperçoit que c'est un romantique de première.
Alors au petit matin ils se lèvent et devant un super petit déjeuner, ils se
regardent tendrement.
Elle lui dit :' J'ai passé la plus belle nuit de mon existence, Merci beaucoup
!'
Et lui répond :' Oh ça va , t'as pas vu tes oreilles !!'.
Un jour, un gars se rend compte qu'il a de nouveaux voisins.
C'est l'été et très rapidement, la nouvelle voisine va prendre l'habitude de
passer l'après-midis dans son jardin à savourer les caresses du soleil sur sa
peau à peine couverte d'un minuscule bikini.
Notre gars, qui a du temps à perdre, va ainsi pouvoir se rendre compte que sa
voisine possède une plastique formidable, et des seins que n'aurait pas reniés
Russ Meyer.
À tel point que pour ne rien perdre du spectacle, il va se mettre à tondre sa
pelouse tous les 3 jours et à arroser son jardin tous les après-midi.... Mais
cette technique ne fait qu'accentuer son désir complètement irraisonné et un
beau jour, il craque: Il prend son courage de la main droite, et va frapper à la
porte de ses voisins. C'est le mari qui lui ouvre. notre gars lui dit:
- Écoutez... Je n'en peux plus. Depuis que vous vous êtes installés près de chez
moi, je ne peux plus mener la vie que je menais avant. La beauté de votre femme
est tellement envoûtante
Le mari répond:
- De quoi?
Notre gars:
- Enfin oui. Ce que je veux dire, c'est que depuis qu'elle prend des bains de
soleil, je ne peux pas m'empêcher d'observer sa poitrine... Ah, tenez, je vous
propose 10 000 frs pour pouvoir embrasser ses seins!
Le mari est sur le point de balancer notre gars dehors lorsque sa femme surgit
et le tire par la manche. Ils discutent à voix basse, et finalement, le mari
s'adresse à notre gars pour lui dire:
- C'est d'accord. Pour 10 000 frs, vous pouvez embrasser les seins de ma femme.
Alors la femme déboutonne son chemisier et offre à notre gars les objets de son
désir. Il prend alors un sein dans chaque main (bon, ça déborde un peu puisqu'on
joue ultravixens), et enfouit carrément son visage dans l'opulente poitrine.
C'est l'extase.
Ça dure comme ça plusieurs minutes, jusqu'à ce que le mari dise:
- Bon, eh, oh, ça va bien maintenant. Vous les embrassez et basta!
Notre gars marmonne entre les seins:
- Je peux pas...
- Et pourquoi vous pouvez pas?
- Parce que j'ai pas 10 000 Frs
Dans cette famille de jeunes mariés, le mari a perdu son emploi depuis plus d'un
an, et impossible de trouver un nouveau job. Après avoir essayé tous les stages
rémunérés et autres formations diplômantes, notre gars se retrouve encore et
toujours au chômage.
Après moultes réflexions avec sa femme, un beau soir, l'épouse a une idée:
- Il faut faire quelque chose pour trouver de l'argent. Le RMI ça ne suffit pas.
Je vais me prostituer!
- Quoi, tu n'y penses pas?! Moi vivant, jamais tu ne vendras ton corps etc...
Mais à force d'insister, la femme obtient gain de cause.
Alors le soir même, sur le coup de 20 heures, la femme quitte la maison et se
dirige vers le boulevard.
Plusieurs heures passent. Vers 1 h 00 du matin, le mari commence à s'inquiéter,
surtout qu'elle est jeune, belle, et qu'elle n'a aucun expérience de ces choses
là. Ce n'est que sur le coup des 3 heures du mat' que son épouse rentre à la
maison
Le mari l'accueille tout réjouit, puis il lui demande comment ça s'est passé.
Elle lui répond:
- Oh très bien. Je me suis fait 15 francs cinquante.
- Quoi?! tu es restée dehors 7 heures et tu ne t'es fait que 15,5 francs? Et
puis d'abord qui a osé te donner 50 centimes?
Alors la femme rougit et dit:
- Ben... tous.
C'est une femme qui rentre dans un sex shop.
Elle s'avance vers le vendeur qui remarque qu'elle est agitée de tremblements.
La dame demande:
- Éééest-ce queu-eu-eu vou-ou-ous ven-en-en-endez dé-é-é-es
vi-i-ibro-o-o-ma-a-a-a-sseu-eu-eurs?
Le vendeur:
- Oui madame. Bien sûr. Nous en avons plusieurs.
- Éééest-ce queu-eu-eu vou-ou-ous en-en a-a-a-avez qui-i-i-i fon-ont 25
cen-en-enti-i-i-i-mè-è-è-tres de long et don-ont la-a-a marque é-é-est
Ro-o-o-cco?
- Oui madame. c'est un de nos modèles les plus vendus
- A-a-a-a-lors di-i-i-i-tes-moi co-o-o-oment on l'a-a-a-rrê-ê-ê-ête!
Deux hommes lors d'une rencontre...
- Salut Alain, dis... heu... une partouze... demain soir, ça te dirait?
- Une partouze? Bien sûr que cela me plairait. Combien serons-nous?
- Ben..., si ta femme vient on sera trois.
Un gars vient d'emménager dans un bled paumé.
Son voisin immédiat vient lui rendre visite pour lui rendre une visite de
courtoisie:
- Bonjour voisin. Pour vous souhaiter la bienvenue dans la ville, j'ai organisé
une grande fête ce soir. Il y aura à boire, on pourra danser, se battre et
baiser!
- Vraiment? C'est gentil ça. Et comment doit-on s'habiller pour l'occasion?
- Bof, peu importe, il y aura juste toi et moi
( à lire avec l'accent pincé et un balai dans le Q )
Monsieur et Madame De sont en train de se ... comment dirai-je, de s'accoupler.
- Très cher, êtes-vous bien?
- Oui, ma douce amie, mais si vous écartiez un tout petit peu plus vos cuisses,
je ne le serais que davantage.
(...un moment passe...)
- Et là, darling, êtes-vous bien?
- Fort bien, ma charmante. Toutefois, si vous écartiez un tout petit peu plus
vos cuisses, la situation serait encore plus confortable.
(...un autre moment passe...)
- Mon chéri, puis-je supposer que vous êtes à l'aise?
- Cela est fort vrai, chouchou. Cependant, si vous écartiez un peu...
- Charles-Edouard, vous n'essayez quand même pas d'introduire vos testicules?
- MAIS PUTAIN QU'ELLE EST CON CELLE LÀ! EH NON GROGNASSE, ÇA FAIT UN QUART
D'HEURE QUE JE SAIS PLUS COMMENT FAIRE POUR LES EN SORTIR!
Et une légende urbaine, une!
Quand Neil Armstrong, l'astronaute de la mission Apollo 11, marcha sur la lune
pour la première fois, il déclara ' C'est un petit pas pour l'homme, mais un
grand bond pour l'humanité'.
Ce ne fut pas la seule chose qu'il déclara: Alors qu'il était en pleine
conversation avec Houston, il ajouta 'Bonne chance Monsieur Gorsky'.
Cette phrase resta une énigme très longtemps, surtout que les gars de la NASA
avaient d'abord pensé que le Gorsky en question était un cosmonaute du programme
russe... Mais après vérification, aucun Gorsky n'exerçait la fonction de
cosmonaute ni en Russie, ni aux USA.
Pendant des années, les journalistes qui interviewaient Armstrong ne manquèrent
pas de demander à chaque fois ce que le 'Bonne chance M. Gorsky' signifiait....
mais sans obtenir la réponse.
Le 5 Juillet 95, alors qu'un reporter lui posait à nouveau la question,
Armstrong répondit:
- Monsieur Gorsky est mort maintenant. Je vais pouvoir répondre à votre
question: Lorsque j'étais gosse, j'avais l'habitude de jouer au basket dans le
jardin. Un jour, la balle atterrit dans le jardin du voisin;
Au moment où j'allais la ramasser dans leur jardin, je suis passé devant la
fenêtre de la chambre à coucher de M. et Mme Gorsky, nos voisins.
Et là, j'ai pu entendre madame Gorsky qui disait à monsieur Gorsky:
- Une fellation? Tu veux que je te fasse une fellation? Je t'en ferai une le
jour où le gosse du voisin marchera sur la lune!
Dans un club très spécial est organisé un spectacle non moins spécial : le
triomphe de Casanova. Un athlète particulièrement athlétique se propose
d'honorer en une heure 13 jeunes expertes es-libertinage, sans trucage ni
play-back.
Il y a foule. Le spectacle commence.
Le vigoureux vit du viril et vicieux vidangeur suscite à toute l'assistance une
envie démesurée, et chez les jeunes assistantes des cris orgasmiques aussi
stridents qu'humides.
Après une demi-heure, on baisse le chauffage, l'athlète pointe correctement aux
temps intermédiaires et le premier rang est inondé. Au bout de 45 minutes, 10
jeunes filles gisent pantelantes, des sourires aux lèvres, petites, moyennes et
grandes.
Plus que trois !!!
C'est alors qu'arrive le drame, le coup de barre, la fringale, le trou, Dans un
sursaut d'énergie, la veuve poignée rétablit la situation dans une enfilade
bâclée.
Plus que deux !!!
Des mains expertes ayant pratiqué le Kama Soutra depuis leur plus tendre
enfance, aidées d'une volonté de fer et d'un brin de simulation, viennent à bout
de l'avant-dernière candidate.
Il reste 4 minutes mais plus aucun espoir.
Entre les jambes de l'athlète pend une limace ridiculement dégoulinante qui
n'intéresserait même pas une bonne soeur aux fesses molles.
C'est la fin, c'est le bide, c'est le fiasco.
Le directeur du club n'en croit pas ses yeux, son avenir est foutu, c'est la
ruine. Canines en avant, il se rue sur le malheureux artiste prostré qui
marmonne
- J'comprends pas, j'comprends pas, j'avais pourtant répété trois fois cet
après-midi...

Vue mer : crédit photo Aseed