Humour
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Les Blagues : Police Et Militaires
A l'armée, pendant les 'classes', le sergent fait passer aux recrues un test de
lecture.
C'est au tour du frère de Toto:
- Le pe..........tit laaaaaaaaaaaapin mar...cheux
- Soldat, vous êtes con, plus con qu'un wagon
- Comment ça sergent?
- Parce qu'un wagon lit ( là, tout le régiment rit du gars )
Un peu plus tard, Exercices de groupes. Le Sergent lance:
- Rompez!
Tout le monde rompt, sauf le frère de Toto...
- Soldat! J'ai dit rompez
- Je ne peux pas, Sergent!
- Pourquoi?
- Parce qu'un wagon reste au rang!
La troisième guerre mondiale a éclaté. Les militaires ont trouvé le moyen
d'inventer un ordinateur ultra puissant, auquel ils doivent soumettre un
problème tactique particulièrement ardu. Lui ayant fait ingurgiter les données,
ils posent la question fatidique :
'Faut-il attaquer ou sonner la retraite ?'
L'ordinateur émet quelques cliquetis, une série de bips, ses diodes se mettent à
clignoter et soudain, la réponse jaillit :
'OUI.'
Les généraux se regardent, perplexes. L'un d'eux décide d'agir : il s'approche
du clavier et tape une autre question :
'Oui quoi ?'
L'ordinateur répond, instantanément :
'OUI MON GÉNÉRAL !'
C'est un militaire, un sergent on va dire.
Il est en train de s'exercer au tir avec son Famas. Il est couché sur le sol et
balance quelques balles en coup par coup.
Lorsque le première classe Dutrou va contrôler les cibles, il crie à l'intention
du sergent:
'AUCUNE BALLE DANS LA CIBLE, SERGENT'
Alors le sergent regarde son arme... puis regarde la cible... puis regarde à
nouveau son arme... puis encore la cible.
Ensuite, il met son index gauche au bout du canon et à l'aide de son index
droit, il presse la détente. Naturellement, son doigt est pulvérisé!
À ce moment là le sergent hurle en direction du soldat:
- ÇA PART D'ICI CORRECTEMENT. LE PROBLÈME DOIT SE TROUVER LÀ-BAS
Accent sud-américain nécessaire
Le général Alcazar passe ses troupes en revue, il décide d'inspecter
l'infirmerie, où 50 de ses soldats sont alités.
- Mes respects mon général
- Quel est votre problème ?
- Hémorroïdès mon général
- Quel traitementès ?
- Batonnès cotonnès badigeonnès
- Quel est votre souhait le plus cher ?
- Servir toute ma vie l'armée du général Alcazar !
Le suivant :
- Mes respects mon général
- Quel est votre problème ?
- Hémorroïdès mon général
- Quel traitementès ?
- Batonnès cotonnès badigeonnès
- Quel est votre souhait le plus cher ?
- Servir toute ma vie l'armée du général Alcazar !
Etc... pour les 49 premiers soldat (la nourriture mexicaine est vraiment très
pimentée, arrive le dernier :
- Mes respects mon général
- Quel est votre problème ?
- Anginès mon général
- Quel traitementès ?
- Cotonnès batonnès badigonnès
- Quel est votre souhait le plus cher ?
- Pourrait-on changer le cotonnès ?
Un adjudant est au pied d'un arbre où sont embusqués des soldats.
'Combien êtes-vous là-haut?' demande-t-il.
'Trois, mon adjudant.'
'Bien, que la moitié descende.'
Si tous les cons pouvaient voler, le ciel serait kaki
'Pour marcher au pas d'une musique militaire, il n'y a pas besoin de cerveau
seule la moelle épinière suffit' [Albert Einstein]
Un homme se présente à la frontière Mexicaine sur sa bicyclette avec deux grands
sacs sur ses épaules.
Le douanier dit, 'Qu'y a-t-il dans les sacs ?'
Le gars répond : 'Du sable.'
- 'Veuillez vider les deux sacs ...'
Sans difficulté, notre homme vida ses sacs : du sable, rien que du sable!!!
- 'C'est bon, vous pouvez passer.'
Notre ami remit le sable dans les sacs, les sacs sur ses épaules, ses fesses sur
la selle et il franchit la frontière.
Le lendemain, notre homme se représente à la frontière, sur sa bicyclette, deux
sacs sur les épaules. Même scène ...qui se répéta pendant quinze jours.
Puis lassés, les douaniers ne le contrôlaient plus que de temps en temps:
toujours du sable!
Enfin un jour, tout en le laissant passer, un douanier l'interpella :
- 'Nous ne sommes pas si idiots que ça. Nous savons que vous faites de la
contrebande. Oui, mais de quoi ?'
Quand le gars fut assez loin, il se retourna et dit simplement :
- 'Bicyclettes !' Dans une région ravagée par le choléra, un officier du service
de santé des armées visite une caserne.
- Il interroge un sous-officier: Quelles précautions observez-vous pour rendre
l'eau potable?
- Eh bien, d'abord nous la filtrons.
- Très bien. Et après?
- Nous la faisons bouillir.
- Parfait. Et ensuite?
- Pour ne courir aucun risque, nous buvons de la bière!
À la douane néerlandaise, le douanier;
- Vous avez de l'alcool ?
- Non.
- Vous avez des armes ?
- Non.
- Vous avez de la drogue ?
- Non.
Après avoir jeté un bref coup d'oeil alentours, le douanier:
- Vous en voulez ?
c'est à l'armée que ça se passe: un garçon de ferme un peu benêt va faire son
premier saut en parachute. Le sergent lui fait les dernières recommendations
avant le grand saut dans le vide:
- Tu vas sauter en automatique. C'est à dire que la tirette de ton parachute
dorsal sera automatiquement tirée lorsque tu sauteras hors de l'avion.
Cependant, si rien ne se passe, tu tireras la tirette de ton parachute ventral
et tout ira bien. Une fois que tu auras atterrit, un camion passera te prendre
pour te ramener à la base.
Alors la recrue respire un bon coup et se lance dans le vide. Mais au bout de 10
secondes, aucun parachute ne s'est ouvert. Alors le gars tire la poignée de son
ventral, mais là encore, rien ne se passe. La malédiction quoi. Forcément, le
gars regarde le sol arriver à vitesse grand V et il se dit:
- Ouais. Au train où vont les choses, vous allez voir que le camion de ramassage
ne sera pas là lui non plus.
Dans un hôpital militaire, un général acariâtre doit passer une semaine suite à
une fracture ouverte de son bras droit.
Dès qu'il arrive, il est tout de suite pris en grippe par le personnel soignant
et les autres malades en raison de son irascibilité et de ses demandes jamais
satisfaites.
L'hôpital ne disposant plus de chambres individuelles, le général est placé dans
une chambrée de 6 lits - chose qu'il ne supporte pas -, ses repas sont servis
trop froids, ou encore les aliments ne sont pas bons, ou encore il y a trop de
bruit dans le couloir la nuit, etc...
Le matin du troisième jour, une infirmière entre dans la chambre et dit:
- C'est pour votre température, Général.
En grognant, le général se place sur son côté de manière à ce que l'infimière
puisse introduire le thermomètre.
L'infirmière s'acquite de la tâche et dit au général:
- Ne bougez pas, je reviens dans cinq minutes
Et l'infirmière s'en va.
Une heure plus tard, une autre infirmière entre dans la chambre et voit le
général toujours dans la même position, le cul à l'air. Elle est surprise et
demande:
- Mais qu'est-ce qui se passe ici?
Le général grogne et répond:
- Et bien quoi? Vous n'avez jamais vu quelqu'un prendre sa température?
- Si bien sûr général... Mais pas avec une marguerite.

Vue mer : crédit photo Aseed