Après avoir livré des concerts de punk déconnant, Didier Super se lance dans un nouveau spectacle solo 100% nouvelles chansons et 200% bon goût.

Et attention sa bêtise y atteint des hauteurs stratosphériques. Crétin, ambigu, méchant, insupportable, parfois même attachant, le personnage parvient à faire applaudir l’inacceptable par un public médusé.
« Vitriolesque » comme d’autres sont chevaleresques, il ne peut s’empêcher de carboniser les tabous, de saper les fondements du politiquement correct le plus élémentaire, de vomir la bonne conscience.

Son quinzième degré créé le malaise et bien sûr fait marrer car Didier Super est un artisan de la vanne à portée universelle, plus proche de Coluche et du Professeur Choron que de Stéphane Guillon ou Bigard.