Humour
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Les Blagues : Internationale
Toujours en pleine guerre froide:
Kroutchev appelle Kennedy sur le téléphone rouge.
- Dis donc John, la nuit dernière, j'ai fait un rêve qui m'a vraiment plu. Je
voyais le drapeau rouge flotter sur la Maison Blanche!
Kennedy qui ne manque pas d'à propos (d'entre pour non plus) lui répond:
- Ah, hier, moi aussi j'ai fait un rêve du même genre où je voyais un drapeau
rouge flotter au dessus du Kremlin.
Kroutchev rigole à l'autre bout du fil mais Kennedy en profite pour ajouter:
- Ce n'est pas tout: Il y avait quelque chose d'écrit sur le drapeau...
- Quoi donc? demande Kroutchev
Et Kennedy l'achève en disant:
- Je ne sais pas, je ne comprend pas le chinois
Et encore en pleine guerre froide:
Brejnev fait un discours en Chine. cela fait deux heures qu'il parle pour ne
rien dire. Il s'exprime en russe et un traducteur est chargé de traduire le
speech en chinois.
Lorsque Brejnev en a terminé, il va voir son conseiller aux relations avec la
Chine pour lui demander pourquoi le traducteur n'a pris la parole que 3 fois
pendant son discours de 20 pages. Brejnev lui dit:
- Le chinois est une langue merveilleuse d'efficacité et de concision si j'en
crois la traduction faite par ce chinois!
Et le conseiller de Brejnev lui répond:
- Pas vraiment. Le traducteur a bien parlé trois fois mais c'était pour dire:
'Conneries ... Encore des conneries ... fin des conneries'
(avant de commencer, je précise que je parle pas de toto, mais bien du maréchal
Tito... pour ceux qui savent pas, c'est un vieux gars yougoslave)
Tito règne, comme nous l'apprennent les livres d'histoire, avec une poigne de
fer sur la Yougoslavie fraîchement vidée des occupants. Comme le rude maréchal
est soucieux de connaître l'opinion du peuple (ça les livres d'histoire n'en
parlent pas...), il décide d'aller incognito prendre ses renseignements.
À la sortie d'une usine (mettons, une usine de Yugo... la petite soeur difforme
a la Lada), il se mêle aux ouvriers qui rentrent chez eux et en prend un a part.
'Dis moi, camarade, qu'est-ce que tu penses de Tito ?
D'un air affolé, l'homme prend Tito par le bras et l'emmène vers l'arrière de
l'usine. Il jette partout des regards soupçonneux, et vérifie que personne ne le
suit. Ils entrent dans le sous-bois qui jouxte (ouah, le vocabulaire qui tue)
l'usine, marchent pendant une bonne heure, et l'homme n'a pas l'air de vouloir
s'arrêter. Tito, vraiment très intrigué, préfère jouer le jeu et ne dit rien.
Quelques kilomètres défilent, tandis que Tito est toujours tiré en avant par
l'ouvrier. Le maréchal est de plus en plus curieux et comprend de moins en moins
ce qui lui arrive.
Le soir tombe dans la campagne yougoslave, quand l'homme s'arrête enfin, après
avoir parcouru encore quelques bornes par des chemins tortueux et des sentiers
abandonnés, au milieu d'une petite clairière. Il jette encore quelques coups
d'oeil inquiets de chaque côté, avant de s'approcher de Tito et de lui glisser à
l'oreille :
'Eh bien, tu sais, moi, Tito...
- Oui, camarade, alors ?
- Eh bien, moi... Tito, je l'aime bien !'
(in Le communisme est-il soluble dans l'alcool ?, si ma mémoire est bonne...)
Ceaucescu (eh oui, ça date et c'est en Roumanie cette fois-ci) est démoralisé:
son peuple ne semble pas l'apprécier. Pour en avoir le coeur net, il veut
discuter avec un ouvrier.
'Il parait qu'on ne m'aime pas
- Mais non, mais non.
- Il parait que des gens seraient prêts à m'assassiner...
- Jamais entendu parler!
- Et même, il parait que certains seraient prêts à profaner ma tombe!
- ...
- Vous ne dites rien... Tenez, vous, par exemple, vous viendriez profaner ma
tombe?
- Sûrement pas!
- (soulagé) et pourquoi?
- Parce que j'en ai marre de faire la queue!'
Le camarade Lénine se lève par ce beau matin de printemps et s'adresse au soleil
:
'ô cher soleil, qui est le plus beau; le plus grand, le plus fort ?'
Le soleil : 'Mais c'est toi mon cher Lenine !'
Vers midi, Lénine remet ça :
'ô cher soleil, qui est le plus intelligent, le plus génial, le plus classe ?'
Le soleil : 'Mais voyons mon cher Lénine, c'est toi bien sur'
Vers 5/6 heures du soir :
'ô cher soleil, qui est le plus grand, le plus mégatop, le plus topdélire ?'
Le soleil : 'Mais voyons, ça ne peut être que toi'
Juste avant de se coucher, Lénine remet 20 sous :
'ô cher soleil...'
Le soleil : 'Bon arrête de gonfler là, je viens de passer à l'ouest !'
Vous savez quand Jaruzelski a retiré ses lunettes noires?
- Quand il a fini de souder la Pologne à l' URSS.
C'est Jaruzelski qui veut se renseigner sur sa popularité. Il sort incognito (
je n'ai pas dit 'il met des lunettes noires...) et se rend dans un cinéma. Avant
le début du film, le projectionniste arrive et dit à la salle: 'On se lève tous
pour le Général Jaruzelski.' Tous se lèvent sauf Jaruzelski. Celui-ci est très
content de voir que tout le monde l'aime. Le projectionniste répète alors: 'On
se lève tous pour le Général Jaruzelski.' Là encore, tous se lèvent sauf
Jaruzelski, qui jubile de se savoir si populaire. Le projectionniste lui dit
alors:
'Lève toi, ou ce connard va te faire fusiller !'
C'est un gars qui va à la banque à Gdansk pour ouvrir un compte et y faire un
dépôt.
C'est la première fois qu'il va mettre de l'argent sur un compte bancaire, alors
il est un peu nerveux :
- Qu'est-ce qui se passe si la banque de Gdansk fait faillite ?
- Dans ce cas votre argent est assuré par la Banque de Varsovie
- Mais si la banque de Varsovie fait faillite elle aussi ?
- Alors, il n'y aurait toujours pas de problème car la banque de Varsovie est
assurée par la Banque Nationale de Pologne !
- Mais si la Banque Nationale de Pologne fait faillite ?
- Alors c'est la banque Nationale de Moscou qui prendrait le relais !
- Et si la banque Nationale de Moscou fait faillite ?
- Alors votre argent est garanti par la Grande banque de l'Union Soviétique ! !
- Et si cette banque fait faillite ?
- Alors dans ce cas, vous aurez effectivement perdu votre argent... Mais avouez
que ça en vaudrait la peine, non ?
C'est en Russie , un type rentre dans un magasin :
- C'est ici la boulangerie ?
- Non ici c'est le magasin où il n'y a plus de viande.
C'est un soviétique qui a économisé rouble par rouble année après année.
Un beau jour, ça y est: Il a assez économisé pour s'acheter une voiture!
Le voilà qui va au magasin d'état et qui demande pour une Lada.
Là on lui répond que la Lada lui sera livrée dans 10 ans.
Alors le soviétique demande:
- Ça sera le matin ou l'après-midi?
Et le vendeur répond:
- Qu'est-ce que ça peut vous faire, c'est suffisamment loin pour ne pas avoir à
s'inquiéter si ça sera du matin ou de l'après-midi...
Alors le client:
- C'est parce que j'aurai le plombier dans l'après-midi
Pourquoi y avait il des contrôles dans les lingeries de l'ancienne URSS?
- Parce qu'il était interdit de mélanger les torchons et les soviets.

Vue mer : crédit photo Aseed