Humour
Les images

Les Blagues : Religieuses
Une nonne arrive en courant dans la cuisine du couvent pour y retrouver la Mère
supérieure. Elle crie:
'J'ai été violée! J'ai été violée!'
La Mère supérieure lui répond:
'Calmez-vous mon enfant, et asseyez-vous .... Je vais m'occuper de vous.'
La Mère supérieure va chercher du citron, du vinaigre, des cornichons et des
oignons, puis elle commence à préparer une mixture avec ces ingrédients.
Elle tend la mixture à la nonne en lui disant de boire cul-sec!
La nonne demande avant de goûter:
'Et vous pensez qu'avec ça, je serai 'purifiée', Ma Mère?'
La Mère Supérieure:
'Pas sûr, mais au moins, ça vous enlèvera le sourire que vous avez sur les
lèvres !!'
La mère supérieure convoque en catastrophe toutes les religieuses du couvent :
- Mes soeurs, notre figuier n'a jamais donne autant de fruits. Je ne sais
vraiment pas comment nous allons pouvoir les utiliser tous avant qu'ils ne
soient pourris ! Auriez-vous des idées pour éviter ce gâchis ?
- Faisons des tartes, ma mère.
- Quelle bonne idée, soeur Marie. Mais ça ne suffira jamais...
- Et des confitures aussi
- Oui, soeur Odile, très bonne idée ! Mais nous n'aurons pas assez de bocaux
pour tous ces fruits...
- Faisons de la compote !
- De la compote, soeur Jeanne ? Mais comment ?
- Avec une lime, ma mère.
- Une lime ? Expliquez-nous
- Oh, quand j'étais enfant, j'ai une fois entendu, par la porte entrouverte, ma
mère dire à mon père : 'arrête de limer, j'ai la figue en compote !'
Une vieille bonne soeur de passage a Paris se retrouve par hasard Rue
Saint-Denis. Elle va demander à une pute pourquoi il y a autant de filles qui
attendent Dieu sait quoi. La pute, ennuyée, lui répond 'Il y a une distribution
de sucettes au bout de la rue'.
Là-dessus arrive un car de police qui embarque tout le monde, la bonne soeur y
compris. Arrivés au commissariat l'inspecteur n'en croit pas ses yeux : 'Ma
soeur, que faisiez-vous dans la rue, à votre âge'?
Et la bonne soeur : Ben quoi 'à mon âge'? J'ai plus de dents mais je peux encore
en sucer quelques-unes
Trois touristes visitent le désert accompagne d'un guide. Sur le chemin, ils
voient un bâtiment. Le guide leur dit que c'est un couvent de bonnes soeurs mais
il ne faut pas y aller, c'est dangereux, elles n'acceptent pas les hommes. Ils
continuent leur chemin quand une tempête de sable surgit.
Le guide s'enfuit laissant les 3 hommes seul dans le désert assoiffés et
affamés.
Bien que les 2 autres essaient de l'en dissuader, le premier va frapper au
couvent pour avoir à boire. Il supplie la soeur de le laisser entrer. La soeur
le prévient : 'Nous n'acceptons pas les hommes ici'.
'M'en fous, j'ai trop soif' qu'il lui répond. Il entre et les 2 autres entendent
un grand cri.
Le deuxième homme craque et se dirige vers le couvent. Il frappe, et même
scénario, le grand cri.
Enfin, le troisième n'ayant plus le choix, va frapper au couvent. Avant
d'entrer, il demande à la soeur de lui dire ce qui est arrivé aux autres.
Elle lui dit :
'Le premier était boucher, on les lui a coupées. Le deuxième était vigneron, on
les lui a pressées'.
À ce moment, le 3ème de met à rire et dit : 'moi, je suis marchand de sucettes'.
C'est le début de la matinée dans le couvent. Deux religieuses se dirigent vers
le réfectoire pour prendre le petit déjeuner.
Sur le chemin, elles croisent la Mère Supérieure qui semble d'une humeur
massacrante... Les deux soeurs lui disent bonjour, et la Mère Supérieure ne
répond qu'un grognement!
Une des soeurs dit alors à l'autre:
- Ho ho, notre mère supérieure a du se lever du mauvais côté du lit ce matin.
L'autre répond:
- On doit plutôt dire 'La mère supérieure s'est levée du pied gauche' non?
Et la première répond:
- Peut-être qu'elle s'est levée du pied gauche... mais elle s'est quand même
trompée de côté de lit parce qu'elle a mis les chaussures du Père Barnabé!
Ça se passe dans une région bien reculée, sur une petite route départementale.
Une nonne rentre au couvent avec la Renault 4 de la communauté. Malheureusement,
la nonne est un peu 'tête en l'air' et elle a oublié de refaire le plein. Elle
cherche dans la voiture: pas de jerrican. Elle se met donc à marcher en
direction de la maison la plus proche qu'elle sait être à 2 km de là.
Arrivée à la maison, elle demande si elle peut être dépannée avec un peu
d'essence. Le gars lui dit 'Moi je veux bien, mais je n'ai pas de jerrican'.
Alors il réfléchit et dit
'ça y est, j'ai trouvé. On va pomper un peu d'essence de ma voiture que l'on
transvasera dans ce pot de chambre'
Et voilà la nonne qui repart vers sa voiture avec son pot de chambre remplit
d'essence.
Alors qu'elle est en train de verser son essence dans son réservoir, une voiture
s'arrête à sa hauteur. Le conducteur baisse la vitre et lui dit:
- Ma soeur, comme j'aimerai avoir autant de foi que vous...
Ce sont trois jeunes candidats à la prêtrise.
L'évêque s'est déplacé spécialement au
séminaire pour leur faire passer
un dernier test: le test du célibat
L'évêque conduit les trois candidats dans une pièce, et leur
demande de
se déshabiller. Ensuite, il demande à chacun de s'attacher une
petite
clochette au pénis au moyen d'une ficelle toute fine.
Lorsque tout le monde est prêt, une superbe fille entre dans la
pièce et
vient se placer devant le premier candidat. Elle entame un strip tease
torride... mais n'a pas plutôt enlevé son soutien-gorge que l'on
entend
le
*Tingingling*
L'évêque prend alors la parole:
- Patrick, je suis vraiment désolé pour vous, mais votre
manque de self
control vous joue des tours. Emportez vos vêtements et courrez prendre
une douche froide. Vous en profiterez pour prier et méditer sur votre
faiblesse charnelle.
Pendant ce temps, la jeune fille qui s'était placée devant le
second
candidat avait continué son strip tease. Arrivé à la petite
culotte,
l'évêque pu entendre le
*Tingingling*
L'évêque reprend alors la parole:
- Joseph, toi non plus, tu n'es pas capable de réfréner tes
pulsions
charnelle. Une douche froide et des prières pour toi aussi. Et le second
candidat quitte la pièce.
À ce moment, la jeune fille est déjà toute nue, en train de
danser et
prendre des attitudes toutes les plus suggestives devant le troisième
candidat...
mais RIEN. Elle a beau même se frotter contre le corps de
l'éphèbe:
Aucune réaction.
L'évêque est très satisfait et il dit:
- Michael, mon fils, je suis vraiment fier de toi! Tu es le seul a avoir
eu assez de force de caractère pour ne pas t'être laissé
aller à tes
pulsions charnelles. Tu deviendras un prêtre très rapidement.
Maintenant tu peux aller rejoindre tes deux compagnons sous la douche...
*Tingingling*
C'est le curé du village voisin qui descend en ville pour présenter ses voeux à
la Mère Supérieure du couvent Saint Marie.
En passant dans la rue, il entend une femme à la tenue suggestive accoster un
passant par un:
- 100 balles la turlutte mon beau, ça te dit?... et le curé constate alors que
la femme et le passant s'engouffrent dans une petite ruelle et disparaissent.
Le curé est perplexe. Il veut en savoir un peu plus et se poste en embuscade
dans ce quartier. Il entend à peu près toujours la même proposition faites par
des dames aux passants de sexe masculin: '100 balles pour une turlutte'... Mais
il ne peut en savoir plus car même si le passant est intéressé par la
proposition de la dame, le passant et la dame disparaissent toujours de sa vue.
Finalement le curé abandonne et poursuit sa marche jusqu'au couvent. Là, il
présente ses voeux à la Mère Supérieure et en profite pour en savoir un peu plus
à propos de la 'turlutte'. Il lui demande:
- Dites-moi un peu ma Mère, une turlutte, c'est quoi?
- Une turlutte? C'est 100 francs, comme en ville!
Il y a eu erreur et gros emmêlage de pinceaux là-haut dans le ciel, et la Soeur
Béatrice se retrouve en Enfer au lieu du Paradis. Comme pour une garde à vue,
Satan lui permet de passer un coup de téléphone...
Elle appelle Saint Pierre:
- Saint Pierre, il faut me sortir d'ici: ils ont prévu une orgie pour ce soir!
Saint Pierre lui promet de faire tout son possible pour la sortir de cette
situation et il raccroche.
Mais Saint Pierre est vraiment 'hyper charrette deborded' et il oublie Soeur
Béatrice...
Jusqu'au lendemain matin, où en se réveillant il trouve un message sur son
répondeur:
'Salut Pierre! Ici, c'est Béa. Tu peux laisser tomber pour le transfert!'
C'est la mère supérieure qui fait venir ses soeurs dans son bureau. Elle leur
demande d'aller chercher des fraises en villes. Malheureusement, la mère
supérieure a la fâcheuse habitude de parler très rapidement, et nos chères
bonnes soeurs ont compris 'd'aller chercher des frères en ville.' Ce qu'elles
font, avec grand plaisir d'ailleurs!
De retour au couvent, une des soeurs entrent dans le bureau de la mère
supérieure et dit:
- Nous avons trouvé ce que vous nous aviez demandé, Mère.
- Parfait!!! répondit la mère supérieure. Faites-les décharger dans le corridor,
nous allons les équeuter demain...

Vue mer : crédit photo Aseed